Le Dark Web : le retour en force après une période de répit

Grâce à Internet, on peut tout acheter facilement, tout en restant chez soi, sans avoir à se déplacer dans les magasins traditionnels. Simultanément, cela concerne également les produits illicites et illégaux. À part la drogue, des logiciels malveillants et les armes, il est également possible de vendre les données et les identités personnelles.

Dark Web : ses principes

Que l’on appelle également “web sombre”, le dark web s’indique par son nom, mais à large spectre de sens. En principe, cette expression désigne un site web clandestin et criminel. Très souvent, il se trouve dans les côtés sombres de l’Internet. Malgré le fait qu’il en fait partie intégrante, il n’est pas aussi facile à accéder par rapport aux sites normaux.

En réalité, on peut définir le dark web en tant qu’une série de sites web que l’on peut trouver sur un réseau crypté. Dans ce sens, les moteurs de recherche courants ne sont pas en mesure de les référencer. Cela aide leurs créateurs à rester anonymes, tout au long de leurs activités. Ainsi, ces sites constituent leurs champs d’activités illégales afin qu’ils puissent s’exercer, de manière libre. Malgré l’existence des arrestations et des poursuites de ces criminels, rares sont ceux qui sont arrêtés, en raison de ce concept.

Les données les plus susceptibles à la vente

Dans ces actes illégaux, ce sont les données personnelles qui sont plus susceptibles de traire à l’identité d’une personne, dans le sens propre. Cela concerne en particulier les informations financières et il en va de même pour ses compétences. , on peut en apprendre plus sur les sanctions relatives à la cybercriminalité. En effet, au sein du dark web, toutes données, qui sont personnelles, peuvent se vendre. Dans cette optique, sur le marché des réseaux sombres, on propose la vente des informations, notamment :

  • Les noms
  • Les prénoms
  • Les numéros de téléphone
  • Les adresses postales et e-mails
  • Les diplômes
  • Les coordonnées bancaires
  • Les identifiants sur les réseaux sociaux

Certaines personnes malveillantes ont besoin de ces informations pour des activités illégales sur les cartes bancaires, les passeports et les cartes d’identité. Cela leur permet de truquer et de détourner certaines opérations sur les comptes des victimes.

Les mesures de protection face à la falsification de l’identité

L’une des mesures les plus courantes pour la protection face à la falsification de l’identité est le gestionnaire des mots de passe. Reconnu pour son efficacité, il permet la centralisation des mots de passe, à l’aide d’un seul logiciel. Toutefois, il aide également à la création des nouveaux, lors de la connexion. Cette mesure a une excellente réputation pour de nombreux avantages à en profiter. Parmi celles-ci, il ne suffit que de mémoriser un mot de passe unique pour la sécurité du logiciel. Ce dernier se chargera ensuite de tout retenir ou d’en créer, qui sont uniques.

En outre, il faut éviter de communiquer des informations sensibles, que ce soit par e-mail ou par téléphone. Tout peut se découvrir en ligne. La connexion sur les réseaux Wifi publics est à bannir.